Grand-Papa
vient de repartir, nous avons travaillé bien fort depuis trois jours. Finition des cadres de bois, 3 couches de
vernis; Tout à fait réussi.
Puis nous nous sommes attaqués aux hatchs : Jean-François avait sous-estimé le temps nécessaire
au nettoyage des pièces et c’est une étape cruciale , en effet, on peut
utiliser le meilleur des scellant mais il ne collera aussi bien que la surface
sur laquelle il est lui-même collé. Donc
grand nettoyage d’une journée entière (merci Germain!), ils sont redevenus
pas-comme-neuf-mais-presque.Ensuite, on s’attaque à la pose. Dans le cas des hatchs, métal sur métal, on a pas besoin de l’élasticité du Sika 295 donc on utilise le 291. Pas plus résistant aux UV mais ça ne change rien ici, les joints seront peints avec le pont.
Les deux plus petits hatchs sont pourvus d’un rebord qui entre dans la coque en plus d’être à l’arrière de la cabine, protégés derrière le dodger. Ils seront posés sans vis avec le tube de Dow 795 qui me restait du début de l’été : Pas de vis, pas de rouille.
Puis,
isolation : Les tests que nous avons fait précédemment avec l’isolant en
cannette sont concluants : Trop
long, trop cher, difficile d’avoir un résultat consistant. Bref nous avons opté pour le plan B, qui lui
s’est montré excellent : Une feuille d’isolant d’un pouce est découpée
pour entrer dans les trous, mais bien serré (il faut vraiment forcer pour la
rentrer à sa place). Puis, après en avoir préparé beaucoup, on remplit abondamment
de mousse en cannette derrière et on replace le morceau. Puis avec la fin de la
cannette on remplit les interstices.
Aucun commentaire:
Publier un commentaire